Par Jean-Pierre Buisson
Mise à jour 27/04/1025
Ci-dessus la photo du fameux "montoir" qui est certainement la solution, mais on peut constater qu'à la Celle sous Gouzon, on devait avoir les jambes plus courtes qu'à Sannat car il y avait 4 marches contre 3 (dont 2 hautes) pour nous. Nous sommes impardonnables de ne pas avoir deviner car sur la carte postale il y avait un indice évident (Voir plus bas la photo avec le timbre rouge)
Durant la veillée organisée par SHP le 25 avril 2015, la projection du site internet sur grand écran a permis de résoudre l’énigme de la pierre. Figurant comme thème de recherche et de discussion sur le blog, elle attira l’attention d’une spectatrice qui proposa une réponse qui semble bien être la solution à notre problème. Arguant qu’une identique pierre se trouvait devant l’église de la Celle sous Gouzon, elle nous en délivra la finalité.
La dite pierre, en forme de mini escalier, servait aux cavaliers à grimper sur leurs montures. Elle répondait d’ailleurs à ce nom qui indiquait bien sa destination, c’était « un montoir ». Une autre dame de l’est du département indiqua qu’il s’en trouvait une également à Moutier Malcard. Et c’est ainsi, étant plus intelligents à plusieurs que seul, que nous vint la réponse.
Merci à ces généreuses et savantes dames, mais l’énigme n’en n’est pas pour cela totalement close. Qu’est la pierre devenue ?
On peut supposer qu’elle était antérieure à la nouvelle église érigée en 1897-1898, qu’elle avait retrouvé sa place après la reconstruction de l’édifice religieux et qu’elle resta là tant qu’elle fut utile. Elle fut enlevée quand les chevaux vapeur des automobiles remplacèrent nos compagnons équins. Mais qu’en a-t-on fait ? Fut-elle débitée pour construire un mur ? Un cavalier la récupéra t-il pour la mettre dans sa cour ? Finit-elle misérablement jetée quelque part ou abandonnée dans quelque lieu inconnu, victime de l’ingratitude humaine.
Si quelqu’un a une idée, qu’il nous en fasse part. Dans sa générosité la municipalité ne nous refuserait pas qu’elle soit remise, avec les honneurs qui lui sont dus, pour bons et loyaux services, à la place de choix qui fut la sienne.
Durant la veillée organisée par SHP le 25 avril 2015, la projection du site internet sur grand écran a permis de résoudre l’énigme de la pierre. Figurant comme thème de recherche et de discussion sur le blog, elle attira l’attention d’une spectatrice qui proposa une réponse qui semble bien être la solution à notre problème. Arguant qu’une identique pierre se trouvait devant l’église de la Celle sous Gouzon, elle nous en délivra la finalité.
La dite pierre, en forme de mini escalier, servait aux cavaliers à grimper sur leurs montures. Elle répondait d’ailleurs à ce nom qui indiquait bien sa destination, c’était « un montoir ». Une autre dame de l’est du département indiqua qu’il s’en trouvait une également à Moutier Malcard. Et c’est ainsi, étant plus intelligents à plusieurs que seul, que nous vint la réponse.
Merci à ces généreuses et savantes dames, mais l’énigme n’en n’est pas pour cela totalement close. Qu’est la pierre devenue ?
On peut supposer qu’elle était antérieure à la nouvelle église érigée en 1897-1898, qu’elle avait retrouvé sa place après la reconstruction de l’édifice religieux et qu’elle resta là tant qu’elle fut utile. Elle fut enlevée quand les chevaux vapeur des automobiles remplacèrent nos compagnons équins. Mais qu’en a-t-on fait ? Fut-elle débitée pour construire un mur ? Un cavalier la récupéra t-il pour la mettre dans sa cour ? Finit-elle misérablement jetée quelque part ou abandonnée dans quelque lieu inconnu, victime de l’ingratitude humaine.
Si quelqu’un a une idée, qu’il nous en fasse part. Dans sa générosité la municipalité ne nous refuserait pas qu’elle soit remise, avec les honneurs qui lui sont dus, pour bons et loyaux services, à la place de choix qui fut la sienne.
31/12/2014
Vous trouverez en pièces jointes quelques éléments de réflexion propres à alimenter vos discussions lors des retrouvailles familiales de fin d'année.
Logiquement 2015 devrait nous apporter la réponse.
Je précise qu'il s'agit de répondre à la question qu'avait posée Anne-Marie à partir d'une carte postale: "Qu'est cette pierre que l'on voit devant l'église"? (Exactement aux abords de la face sud, prés de l'angle sud-ouest).
Vous trouverez en pièces jointes quelques éléments de réflexion propres à alimenter vos discussions lors des retrouvailles familiales de fin d'année.
Logiquement 2015 devrait nous apporter la réponse.
Je précise qu'il s'agit de répondre à la question qu'avait posée Anne-Marie à partir d'une carte postale: "Qu'est cette pierre que l'on voit devant l'église"? (Exactement aux abords de la face sud, prés de l'angle sud-ouest).
Photos extraites du diaporama « Sannat Hier et aujourd’hui » visible sur le site internet. Elles ont été classées (en principe si je n’ai pas fait d’erreur) par ordre chronologique.
Photo A : Les Abords de l’église ne sont pas stabilisés, les arbres ne sont pas encore plantés. On peut en déduire que l’église vient juste d’être achevée (elle l’a été en 1897 et inaugurée en 1898.)
Photo A : Les Abords de l’église ne sont pas stabilisés, les arbres ne sont pas encore plantés. On peut en déduire que l’église vient juste d’être achevée (elle l’a été en 1897 et inaugurée en 1898.)
Photo B : Les abords sont propres, des arbres viennent d’être plantés. On doit être vers 1900. La pierre apparait, comme si elle faisait partie de l’aménagement.
Photo C : Les arbres ont poussé, la pierre est toujours là, mais le monument n’a pas encore été construit. On est donc avant 1922 (date d’érection du monument aux morts)
Photo D : Les arbres (les marronniers qui ont précédé les actuels) ont un peu poussé. Mais les arbres de chez Vertadier (la boulangerie) ont beaucoup grandi, ce qui laisse penser qu’il y a plusieurs années d’écart entre C et D.Il me semble que l’on ne voit pas encore le monument. On serait donc juste avant 1922. On pourrait en conclure que C se situe avant 14-18 et D peut-être juste après. La pierre est toujours là.
Photo E : Là c’est plus facile, le tampon de la poste fait foi comme l’on disait autrefois. La photo est obligatoirement antérieure à la date d’affranchissement (1934), mais certainement pas de beaucoup. Le monument a été construit. Mais les poteaux électriques métalliques accrochés aux maisons de Bernadette et de Marie-Odile que l’on voit sur la photo F n’existent pas encore. Or d’après un récit de Mme Létang, l’électricité est arrivée à Sannat vers 1933. On peut donc en conclure que cette carte date du début des années 30,…et le canard était toujours vivant comme disait Robert Lamoureux. En l’occurrence la pierre.
Photo F : La pierre a disparu. Certains indices peuvent faire penser qu’on est après la seconde guerre mondiale. L’importance des tasses des lignes téléphoniques sur le mur de l’église, qui semblent être en même quantité que quand j’étais enfant, les robes des petites filles sous les marronniers (on peut zoomer)…peut-être même les voitures, tout ça le laisse croire.
Cela voudrait dire que cette pierre a placée là, près de l’Eglise, au bord de la place, vers 1900, qu’elle y est restée jusqu’à la seconde guerre mondiale, un peu avant ou un peu après, c'est-à-dire pendant une quarantaine d’années, et qu’on a fini par l’enlever ! Pourquoi ? Parce qu’elle gênait ?