Jean Félix Victor CHENEBIT
Fiche lue lors de la cérémonie
Né à Sannat le 24 décembre 1879, fils de Laurent Chénebit, cultivateur et maçon au Bourg, et de Marie Antoinette Herminie Valluche, elle aussi originaire de Sannat.
En 1905 il épouse Marie Chaumaison, originaire d’Arfeuille-Chatain.
Cultivateur et maçon de la Creuse, il effectue la migration qui le conduit essentiellement en Lorraine. En 1904 il est dans les Vosges, à Épinal, en 1909 à Villerupt, puis à Jarny, en Meurthe et Moselle, dans les régions où la sidérurgie qui connait un grand essor demande sans cesse de nouveaux bâtiments. En 1911 il revient dans les Vosges, à Rambervillers, et en 1912 retourne à Jarny en Meurthe et Moselle.
Il a 35 ans, lorsqu’éclate la guerre, malgré son âge, il est mobilisé dés le 1er août et envoyé au front.
Comme son frère cadet, lui aussi est
Mort pour la France
…mort au combat, puisque sa fiche de décès militaire précise « Genre de mort : Tué à l’ennemi ».
Tué le 5 avril 1915, à l’âge de 36 ans, en Lorraine, dans le département de la Meurthe et Moselle, à Fey en Haye.
Triste ironie de l’histoire, sa vie a été détruite en Lorraine, par la bêtise des hommes, là-même où le talent des maçons creusois l’avait amené à construire pour assurer la prospérité de notre pays.
Sa femme Marie était décédée le 20 août 1910 à l’âge de 25 ans, 5 ans après leur mariage. Ils n’avaient pas eu d’enfants.
Les parents, en cette année 1915 avaient perdu deux de leurs fils, l’un en avril, l’autre en décembre, après avoir déjà perdu leur belle-fille.
Né à Sannat le 24 décembre 1879, fils de Laurent Chénebit, cultivateur et maçon au Bourg, et de Marie Antoinette Herminie Valluche, elle aussi originaire de Sannat.
En 1905 il épouse Marie Chaumaison, originaire d’Arfeuille-Chatain.
Cultivateur et maçon de la Creuse, il effectue la migration qui le conduit essentiellement en Lorraine. En 1904 il est dans les Vosges, à Épinal, en 1909 à Villerupt, puis à Jarny, en Meurthe et Moselle, dans les régions où la sidérurgie qui connait un grand essor demande sans cesse de nouveaux bâtiments. En 1911 il revient dans les Vosges, à Rambervillers, et en 1912 retourne à Jarny en Meurthe et Moselle.
Il a 35 ans, lorsqu’éclate la guerre, malgré son âge, il est mobilisé dés le 1er août et envoyé au front.
Comme son frère cadet, lui aussi est
Mort pour la France
…mort au combat, puisque sa fiche de décès militaire précise « Genre de mort : Tué à l’ennemi ».
Tué le 5 avril 1915, à l’âge de 36 ans, en Lorraine, dans le département de la Meurthe et Moselle, à Fey en Haye.
Triste ironie de l’histoire, sa vie a été détruite en Lorraine, par la bêtise des hommes, là-même où le talent des maçons creusois l’avait amené à construire pour assurer la prospérité de notre pays.
Sa femme Marie était décédée le 20 août 1910 à l’âge de 25 ans, 5 ans après leur mariage. Ils n’avaient pas eu d’enfants.
Les parents, en cette année 1915 avaient perdu deux de leurs fils, l’un en avril, l’autre en décembre, après avoir déjà perdu leur belle-fille.
Fiche de décès militaire
Registre - Archives Départementales de la Creuse
Registre - Archives Départementales de la Creuse