Sannat Histoire et Patrimoine : Pourquoi et Comment ?
Site : http://sannathetp.weebly.com/
Mail : sannathetp@gmail.com
Tel : 05 55 82 38 50
Repas Champêtre des membres SHP et de leurs familles à l’Étang Giraud
Pour l’Association, le Président : Jean-Pierre Buisson
L’association SHP, née l’été 2014 de la volonté de quelques Sannatois qui se sont réunis autour de ce projet, a rencontré un certain écho probablement parce qu’elle correspondait à un besoin. Ce besoin, c’est celui que chacun éprouve de ne pas voir disparaître la mémoire de notre village et se dégrader son patrimoine.
Tous nous sommes conscients que nous arrivons à un tournant de notre histoire. Le Sannat d’avant, qui s’était peu transformé au cours du temps, a subi un profond bouleversement depuis le milieu du 20ème siècle. Il ne nous est connu que par le souvenir des anciens qui, peu à peu, ainsi le veut la loi naturelle, cèdent la place aux jeunes générations. Il nous a semblé que nous n’avions pas le droit de rompre la chaîne qui nous relie au passé, de priver les jeunes générations de la connaissance de ce qui fut avant eux, et de faire l’injure aux anciens de laisse sombrer dans l’oubli ce qui constitua leur vie et le cadre dans lequel elle se déroula.
Notre association a pour but d’être un conservatoire, qui recherche, qui conserve et qui transmet. Pour cela nous avons besoin de tous les Sannatois, qu’ils soient Sannatois de souche résidant dans la commune ou dans son voisinage, qu’ils soient Sannatois (ou issus de Sannatois) expatriés vivant loin d’ici, mais toujours attachés à leur petite patrie, qu’ils soient Sannatois d’adoption qui nous ont fait le plaisir de choisir de vivre ici…ou de vivre avec une Sannatoise ou un Sannatois.
La mémoire se transmet par les témoignages oraux (ce dont se souviennent les anciens), par les témoignages écrits (cartes postales, lettres, carnets, souvenirs que chacun a pu écrire ou peut encore rédiger), par les témoignages photographiques (photos anciennes de mariage, d’école etc…), par les outils, les machines ou les objets de la vie quotidienne, par la langue ( le patois), par la conservation, l’entretien, voire la réhabilitation du paysage, notamment les chemins et le petit patrimoine bâti qui en sont le témoignage visuel.
Pour tout cela nous avons besoin de vous, à des degrés divers. De personnes qui s’engagent pour effectuer un travail qui peut être modeste ou plus conséquent, permanent ou ponctuel. De personnes qui transmettent en donnant ou en prêtant des documents dont elles disposent, chaque fois que nous lançons un appel. (1)
De personnes qui s’intéressent au travail effectué et à sa mise en valeur (expositions, site internet, animation patois, randonnées, et lorsque nous les lancerons dans le futur, chantiers participatifs, sorties, conférences, etc…).
Notre motivation, notre détermination et notre capacité à produire dépendent de votre adhésion et de votre collaboration. Nous avons vocation à être un conservatoire, mais un conservatoire participatif ou mutualiste, qui fonctionne pour vous et par vous. Si, par exemple, notre exposition du 11 novembre sur la Guerre de 14-18 a connu une relative réussite, cela n’a été possible que grâce à vous qui nous avez fourni les documents qui ont été à la base de notre travail, et qui nous avez fait l’honneur de nous rendre visite. De même le site internet ne peut vivre que de vos consultations et de vos contributions.
L’association SHP, née l’été 2014 de la volonté de quelques Sannatois qui se sont réunis autour de ce projet, a rencontré un certain écho probablement parce qu’elle correspondait à un besoin. Ce besoin, c’est celui que chacun éprouve de ne pas voir disparaître la mémoire de notre village et se dégrader son patrimoine.
Tous nous sommes conscients que nous arrivons à un tournant de notre histoire. Le Sannat d’avant, qui s’était peu transformé au cours du temps, a subi un profond bouleversement depuis le milieu du 20ème siècle. Il ne nous est connu que par le souvenir des anciens qui, peu à peu, ainsi le veut la loi naturelle, cèdent la place aux jeunes générations. Il nous a semblé que nous n’avions pas le droit de rompre la chaîne qui nous relie au passé, de priver les jeunes générations de la connaissance de ce qui fut avant eux, et de faire l’injure aux anciens de laisse sombrer dans l’oubli ce qui constitua leur vie et le cadre dans lequel elle se déroula.
Notre association a pour but d’être un conservatoire, qui recherche, qui conserve et qui transmet. Pour cela nous avons besoin de tous les Sannatois, qu’ils soient Sannatois de souche résidant dans la commune ou dans son voisinage, qu’ils soient Sannatois (ou issus de Sannatois) expatriés vivant loin d’ici, mais toujours attachés à leur petite patrie, qu’ils soient Sannatois d’adoption qui nous ont fait le plaisir de choisir de vivre ici…ou de vivre avec une Sannatoise ou un Sannatois.
La mémoire se transmet par les témoignages oraux (ce dont se souviennent les anciens), par les témoignages écrits (cartes postales, lettres, carnets, souvenirs que chacun a pu écrire ou peut encore rédiger), par les témoignages photographiques (photos anciennes de mariage, d’école etc…), par les outils, les machines ou les objets de la vie quotidienne, par la langue ( le patois), par la conservation, l’entretien, voire la réhabilitation du paysage, notamment les chemins et le petit patrimoine bâti qui en sont le témoignage visuel.
Pour tout cela nous avons besoin de vous, à des degrés divers. De personnes qui s’engagent pour effectuer un travail qui peut être modeste ou plus conséquent, permanent ou ponctuel. De personnes qui transmettent en donnant ou en prêtant des documents dont elles disposent, chaque fois que nous lançons un appel. (1)
De personnes qui s’intéressent au travail effectué et à sa mise en valeur (expositions, site internet, animation patois, randonnées, et lorsque nous les lancerons dans le futur, chantiers participatifs, sorties, conférences, etc…).
Notre motivation, notre détermination et notre capacité à produire dépendent de votre adhésion et de votre collaboration. Nous avons vocation à être un conservatoire, mais un conservatoire participatif ou mutualiste, qui fonctionne pour vous et par vous. Si, par exemple, notre exposition du 11 novembre sur la Guerre de 14-18 a connu une relative réussite, cela n’a été possible que grâce à vous qui nous avez fourni les documents qui ont été à la base de notre travail, et qui nous avez fait l’honneur de nous rendre visite. De même le site internet ne peut vivre que de vos consultations et de vos contributions.
Programme d’activités
Parler du programme d’activités pour l’année à venir, c’est définir un cadre général, puis le décliner pour l’année 2015-2016
1- Quel est notre but ?
Connaitre et transmettre, être des « passeurs d’histoire ». Faire nôtre cette maxime prêtée à Saint-Exupéry « Nous n’héritons pas de la terre de nos ancêtres, nous l’empruntons à nos enfants ».
Notre objectif est de prendre conscience, et de faire prendre conscience, que tout ce que nos ancêtres ont fait, nous devons, autant que faire se peut, chercher à le connaître, le rassembler, le sauvegarder, afin de pouvoir le transmettre à nos enfants. Nous n’avons pas le droit de les priver de ce droit de savoir, quel que soit le moment où ce désir de savoir s’éveillera en eux.
Nous sommes les maillons d’une chaîne qu’il nous est interdit de rompre. Ceci est l’aspect « devoir ». Mais il y a aussi l’aspect « plaisir ». Le plaisir est la satisfaction d’un besoin.
Le besoin que nous ressentons, c’est le besoin de savoir, le besoin de répondre aux éternelles questions que se posent et se poseront toujours les hommes et les femmes : « Qui suis-je ? D’où viens-je ? Où vais-je ? »… (Et les humoristes comme Francis Blanche ou Coluche avaient ajouté « …dans quel état j’erre »?).
Nous avons tous envie de savoir. Il n’est qu’à voir la curiosité et le plaisir qui nous animent quand nous regardons de veilles photos, quand nous écoutons ou lisons des récits du « cher passé », ou quand nous découvrons quelque chose qui nous était inconnu.
Nous avons d’autant plus envie de savoir, et nous nous tournons d’autant plus vers le passé, que l’avenir est incertain, voire inquiétant. Le passé est un refuge qui nous rassure, mais c’est aussi un ancrage qui nous donne des bases solides pour affronter l’avenir, et pour nourrir l’espoir.
2- Quels moyens pouvons-nous mettre en œuvre ?
· Connaitre :
- Recueillir la mémoire par les écrits des anciens et par leurs témoignages oraux qu’il nous faut consigner ou enregistrer.
- Compiler et exploiter les documents mis à notre disposition, ainsi que ceux que nous allons chercher dans les archives, sur internet ou dans les livres.
- Rechercher et explorer sur le terrain.
· Conserver :
- Conserver et archiver les documents originaux que l’on nous donne.
- Scanner ces documents et tous ceux que l’on nous prête.
- Constituer une bibliothèque réelle et virtuelle de documents, de livres et de photos.
- Recueillir et (ou) inventorier les objets du passé, ou inciter les gens à conserver eux-mêmes.
· Transmettre :
- Par les expositions
- Les livres périodiques
- Des brochures ou des dépliants thématiques
- Le site internet
- Des cours (patois)
- Des conférences ou des entretiens
· Agir :
- Établir un schéma des chemins de randonnée de la commune. Les entretenir et les faire entretenir. Baliser des circuits et éditer des dépliants.
- Restaurer et faire restaurer le petit patrimoine bâti.
- Créer un conservatoire virtuel du matériel et des objets…avec l’espoir de créer plus tard un conservatoire réel (écomusée)
- Animer la vie locale par des veillées spectacles, des veillées échanges, des voyages et des sorties.
3- Quel programme précis pour les années a venir ?
Si l’on prend par commission :
La commission 1 « Patrimoine »
Groupe de travail « Chemins » : Finir l’inventaire. Établir le schéma des chemins de randonnée de la commune. Fixer des priorités d’entretien en collaboration avec la municipalité et les agriculteurs riverains, et peut-être la ComCom. Baliser (en bleu et jaune). Éditer des dépliants.
Groupe de travail « Patrimoine bâti » : Sélectionner quelques poulaillers et les restaurer (chantiers participatifs) et (ou) les faire restaurer avec le concours de la Fondation du Patrimoine qui en la personne de son responsable départemental, Mr Delprato.
Consolider la cave de la Chaize et explorer l’éventuel aqueduc.
Faire l’inventaire du reste du petit patrimoine bâti : Croix, Fontaines et Puits, Fours, etc.…
Nous pourrions ensuite passer au patrimoine immobilier, maisons et bâtiments agricoles.
La commission 2 « Outils : Langue et objets »
Groupe de travail « langue-patois » : Poursuite des cours en dédoublant peut-être le groupe, veillée spectacle, travail de découverte et d’initiation avec les élèves de l’école, production d’un article de fond sur le patois qui s’intégrerait parfaitement dans le thème de l’année en cours….etc.
Groupe de travail « objets » : Il nous faut trouver la ou les personnes qui pourraient rendre visite à tous les propriétaires de maisons où des objets, des outils ou des machines d’autrefois existent encore. Le but serait d’en faire l’inventaire et d’inciter les propriétaires à les conserver, ou à nous les donner pour ceux et celles que l’on peut stocker.
La commission 3 « Histoire »
Finir la présentation des villages vers 1950
Finir l’inventaire des archives municipales et en établir un catalogue destiné à l’association et à la mairie.
Travailler sur le sujet qui sera le thème principal des recherches et de l’exposition « Les transformations de l’agriculture et du monde agricole à Sannat dans la deuxième moitié du 20ème siècle. »
Préparer la parution du deuxième livre.
La commission 4 « Animation »
Organiser les veillées et autres festivités.
Organiser un voyage d’études.
Commencer à préparer la marche « Sur les traces des maçons Sannatois ».
Trans-commissions : Les expositions
Le rythme de 4 expositions par an étant trop lourd à tenir, nous l'avons ralenti en abaissant ce nombre à 3, qui se répartit en une importante, et deux qui le sont moins.
Celle qui a disparu est, jusqu’en 2018, celle qui était consacrée aux Journées du Patrimoine. Deux expos aussi rapprochées, fin septembre pour les Journées du Patrimoine, et début novembre pour la commémoration de la Grande Guerre, cela faisait trop.
Celle du 11 novembre perd un peu de son importance en 15, 16 et 17 et deviendra l’exposition principale de l’année en 2018. Nous y raconterons la suite du récit de la guerre des combattants Sannatois, nous essaierons d’évoquer la vie à l’arrière, c'est-à-dire ici, et nous étudierons les conséquences de cette guerre pour notre commune.
Lors des 3 autres commémorations, nous nous sommes contentés de retracer la biographie des soldats morts cette année là. Nous avons fait de petites expos dans ce sens, et nous avons participé à la cérémonie au Monument aux morts.
En juillet, à l’occasion de l’AG, nous continuons d’exposer des photos des grands moments de la vie des anciens Sannatois. En 2017, le thème était la jeunesse (« Nos tendres années ») avec l’école. Nous poursuivrons les années suivantes avec le mariage, peut-être sur deux années car on risque d’avoir beaucoup de photos, puis les loisirs et les fêtes (on inclura le foot, les conscrits et les communions que l’on n’a pas pu mettre cette année) etc.…
L’exposition principale d’avril :
Elle présente nos travaux de l’année et elle se consacre en grande partie à un thème particulier. En 2017, le thème portait sur « les transformations de l’agriculture et du monde agricole dans la deuxième moitié du 20ème siècle ».
En 2016-2017 nous avons travaillé sur le patrimoine immobilier, ce qui nous a amené à commencer à étudier l’histoire des maçons …qui pourrait trouver sa concrétisation dans la marche des maçons que nous avions envisagée dans un futur proche…
L’année 2017- 2018 est consacrée à la guerre. L’exposition principale est donc reportée au 11 novembre 2018.
Voici donc le resumé de notre programme triennal pour les années 2015-2016, 2016-2017, 2017-2018. Essayons de tenir le cap de nos objectifs généraux, sans pour cela nous enfermer dans un carcan. Savoir où l’on va, quitte à changer de route si nécessaire.
Parler du programme d’activités pour l’année à venir, c’est définir un cadre général, puis le décliner pour l’année 2015-2016
1- Quel est notre but ?
Connaitre et transmettre, être des « passeurs d’histoire ». Faire nôtre cette maxime prêtée à Saint-Exupéry « Nous n’héritons pas de la terre de nos ancêtres, nous l’empruntons à nos enfants ».
Notre objectif est de prendre conscience, et de faire prendre conscience, que tout ce que nos ancêtres ont fait, nous devons, autant que faire se peut, chercher à le connaître, le rassembler, le sauvegarder, afin de pouvoir le transmettre à nos enfants. Nous n’avons pas le droit de les priver de ce droit de savoir, quel que soit le moment où ce désir de savoir s’éveillera en eux.
Nous sommes les maillons d’une chaîne qu’il nous est interdit de rompre. Ceci est l’aspect « devoir ». Mais il y a aussi l’aspect « plaisir ». Le plaisir est la satisfaction d’un besoin.
Le besoin que nous ressentons, c’est le besoin de savoir, le besoin de répondre aux éternelles questions que se posent et se poseront toujours les hommes et les femmes : « Qui suis-je ? D’où viens-je ? Où vais-je ? »… (Et les humoristes comme Francis Blanche ou Coluche avaient ajouté « …dans quel état j’erre »?).
Nous avons tous envie de savoir. Il n’est qu’à voir la curiosité et le plaisir qui nous animent quand nous regardons de veilles photos, quand nous écoutons ou lisons des récits du « cher passé », ou quand nous découvrons quelque chose qui nous était inconnu.
Nous avons d’autant plus envie de savoir, et nous nous tournons d’autant plus vers le passé, que l’avenir est incertain, voire inquiétant. Le passé est un refuge qui nous rassure, mais c’est aussi un ancrage qui nous donne des bases solides pour affronter l’avenir, et pour nourrir l’espoir.
2- Quels moyens pouvons-nous mettre en œuvre ?
· Connaitre :
- Recueillir la mémoire par les écrits des anciens et par leurs témoignages oraux qu’il nous faut consigner ou enregistrer.
- Compiler et exploiter les documents mis à notre disposition, ainsi que ceux que nous allons chercher dans les archives, sur internet ou dans les livres.
- Rechercher et explorer sur le terrain.
· Conserver :
- Conserver et archiver les documents originaux que l’on nous donne.
- Scanner ces documents et tous ceux que l’on nous prête.
- Constituer une bibliothèque réelle et virtuelle de documents, de livres et de photos.
- Recueillir et (ou) inventorier les objets du passé, ou inciter les gens à conserver eux-mêmes.
· Transmettre :
- Par les expositions
- Les livres périodiques
- Des brochures ou des dépliants thématiques
- Le site internet
- Des cours (patois)
- Des conférences ou des entretiens
· Agir :
- Établir un schéma des chemins de randonnée de la commune. Les entretenir et les faire entretenir. Baliser des circuits et éditer des dépliants.
- Restaurer et faire restaurer le petit patrimoine bâti.
- Créer un conservatoire virtuel du matériel et des objets…avec l’espoir de créer plus tard un conservatoire réel (écomusée)
- Animer la vie locale par des veillées spectacles, des veillées échanges, des voyages et des sorties.
3- Quel programme précis pour les années a venir ?
Si l’on prend par commission :
La commission 1 « Patrimoine »
Groupe de travail « Chemins » : Finir l’inventaire. Établir le schéma des chemins de randonnée de la commune. Fixer des priorités d’entretien en collaboration avec la municipalité et les agriculteurs riverains, et peut-être la ComCom. Baliser (en bleu et jaune). Éditer des dépliants.
Groupe de travail « Patrimoine bâti » : Sélectionner quelques poulaillers et les restaurer (chantiers participatifs) et (ou) les faire restaurer avec le concours de la Fondation du Patrimoine qui en la personne de son responsable départemental, Mr Delprato.
Consolider la cave de la Chaize et explorer l’éventuel aqueduc.
Faire l’inventaire du reste du petit patrimoine bâti : Croix, Fontaines et Puits, Fours, etc.…
Nous pourrions ensuite passer au patrimoine immobilier, maisons et bâtiments agricoles.
La commission 2 « Outils : Langue et objets »
Groupe de travail « langue-patois » : Poursuite des cours en dédoublant peut-être le groupe, veillée spectacle, travail de découverte et d’initiation avec les élèves de l’école, production d’un article de fond sur le patois qui s’intégrerait parfaitement dans le thème de l’année en cours….etc.
Groupe de travail « objets » : Il nous faut trouver la ou les personnes qui pourraient rendre visite à tous les propriétaires de maisons où des objets, des outils ou des machines d’autrefois existent encore. Le but serait d’en faire l’inventaire et d’inciter les propriétaires à les conserver, ou à nous les donner pour ceux et celles que l’on peut stocker.
La commission 3 « Histoire »
Finir la présentation des villages vers 1950
Finir l’inventaire des archives municipales et en établir un catalogue destiné à l’association et à la mairie.
Travailler sur le sujet qui sera le thème principal des recherches et de l’exposition « Les transformations de l’agriculture et du monde agricole à Sannat dans la deuxième moitié du 20ème siècle. »
Préparer la parution du deuxième livre.
La commission 4 « Animation »
Organiser les veillées et autres festivités.
Organiser un voyage d’études.
Commencer à préparer la marche « Sur les traces des maçons Sannatois ».
Trans-commissions : Les expositions
Le rythme de 4 expositions par an étant trop lourd à tenir, nous l'avons ralenti en abaissant ce nombre à 3, qui se répartit en une importante, et deux qui le sont moins.
Celle qui a disparu est, jusqu’en 2018, celle qui était consacrée aux Journées du Patrimoine. Deux expos aussi rapprochées, fin septembre pour les Journées du Patrimoine, et début novembre pour la commémoration de la Grande Guerre, cela faisait trop.
Celle du 11 novembre perd un peu de son importance en 15, 16 et 17 et deviendra l’exposition principale de l’année en 2018. Nous y raconterons la suite du récit de la guerre des combattants Sannatois, nous essaierons d’évoquer la vie à l’arrière, c'est-à-dire ici, et nous étudierons les conséquences de cette guerre pour notre commune.
Lors des 3 autres commémorations, nous nous sommes contentés de retracer la biographie des soldats morts cette année là. Nous avons fait de petites expos dans ce sens, et nous avons participé à la cérémonie au Monument aux morts.
En juillet, à l’occasion de l’AG, nous continuons d’exposer des photos des grands moments de la vie des anciens Sannatois. En 2017, le thème était la jeunesse (« Nos tendres années ») avec l’école. Nous poursuivrons les années suivantes avec le mariage, peut-être sur deux années car on risque d’avoir beaucoup de photos, puis les loisirs et les fêtes (on inclura le foot, les conscrits et les communions que l’on n’a pas pu mettre cette année) etc.…
L’exposition principale d’avril :
Elle présente nos travaux de l’année et elle se consacre en grande partie à un thème particulier. En 2017, le thème portait sur « les transformations de l’agriculture et du monde agricole dans la deuxième moitié du 20ème siècle ».
En 2016-2017 nous avons travaillé sur le patrimoine immobilier, ce qui nous a amené à commencer à étudier l’histoire des maçons …qui pourrait trouver sa concrétisation dans la marche des maçons que nous avions envisagée dans un futur proche…
L’année 2017- 2018 est consacrée à la guerre. L’exposition principale est donc reportée au 11 novembre 2018.
Voici donc le resumé de notre programme triennal pour les années 2015-2016, 2016-2017, 2017-2018. Essayons de tenir le cap de nos objectifs généraux, sans pour cela nous enfermer dans un carcan. Savoir où l’on va, quitte à changer de route si nécessaire.
(1) Pour le moment nous lançons essentiellement les appels suivants :
- Photos de classe, de communion, de conscrits et de mariage.
- Tous documents ou objets se rapportant à la guerre de 14-18. Documents qui peuvent concerner le front ou l’arrière, c’est à dire la vie à Sannat pendant cette période.
- Les souvenirs écrits que certains ont déjà rédigés, ou ont envie de raconter, que nous publierons avec leur accord.
- Les souvenirs oraux que vous pourriez avoir envie de raconter. A propos de la transmission orale, le groupe patois accueille pêle-mêle, et avec plaisir, tous ceux que notre ancienne langue intéressent, qu’ils le parlent ou simplement le comprennent, qu’ils veuillent l’apprendre ou simplement le découvrir.
- Les témoignages sur l’accueil des réfugiés pendant la guerre de 39-45.
- La liste ou les photos des objets, outils ou machines d’autrefois que vous possédez et que le jour venu vous pourriez nous prêter.
- Des photos de lieux identiques, prises à différents moments de l’année, pour une exposition future qui pourrait s’intituler « Sannat aux quatre saisons ».
- Photos de classe, de communion, de conscrits et de mariage.
- Tous documents ou objets se rapportant à la guerre de 14-18. Documents qui peuvent concerner le front ou l’arrière, c’est à dire la vie à Sannat pendant cette période.
- Les souvenirs écrits que certains ont déjà rédigés, ou ont envie de raconter, que nous publierons avec leur accord.
- Les souvenirs oraux que vous pourriez avoir envie de raconter. A propos de la transmission orale, le groupe patois accueille pêle-mêle, et avec plaisir, tous ceux que notre ancienne langue intéressent, qu’ils le parlent ou simplement le comprennent, qu’ils veuillent l’apprendre ou simplement le découvrir.
- Les témoignages sur l’accueil des réfugiés pendant la guerre de 39-45.
- La liste ou les photos des objets, outils ou machines d’autrefois que vous possédez et que le jour venu vous pourriez nous prêter.
- Des photos de lieux identiques, prises à différents moments de l’année, pour une exposition future qui pourrait s’intituler « Sannat aux quatre saisons ».