Le Bourg de Sannat vers 1950
Les Services Publics
Le Maire: (6)(E4)
François CHIRADE (Agriculteur au Châtaignier).
Secrétaire de Mairie:
Louis DELAGE dit « Bizet », autrefois coiffeur habitait au (138)(E9) en compagnie de son épouse Lucie. Leur fille, Antonine, dite « Ninette » était institutrice, avec son époux Georges DELMAS à Lussat.
Médecin: (129)(TF17)
Le Docteur DEVILLECHABROLLE exerça son activité jusqu’en août 1950, date à laquelle il fit valoir ses droits à la retraite.
Instituteurs:
Alphonsine DELAGE dite « La Foncine », préparait les repas pour les enfants des villages dans la pièce annexe de la « Petite école » qui est toujours la cantine.
Curé: (10 puis 225)(E2 puis E1)
L’abbé VERRIER, de son prénom Pierre, mais que l’on appelait simplement « le Curé », exerça son ministère à Sannat de 1948 à 1962. Il vécut d’abord dans la maison communale située en face de l’église, dite « la cure » (habitée aujourd’hui par Fabrice BOURRIQUET), puis dans la maison située de l’autre coté de la rue des écoles (habitée aujourd’hui par Mr COULAUD), que Mr LANORE légua à l’Évêché par testament. Le catéchisme se fit successivement au domicile du curé, dans l’ancienne cure, puis dans l’extrémité de l’aile gauche de l’ancien cellier LANORE aménagée pour cela. La partie droite du cellier fut transformée en un logement qu’occupa la sœur du curé, venue de Paris, Mme ESTABLI.
Sacristain: (225)(E1)
André LANORE, marchand de vin à la retraite, exerçait les fonctions de sacristain en aidant le Curé dans différentes tâches : préparer et servir la messe, sonner les cloches, etc.
Receveurs de la Poste: (11)(P5)
Dans les années 50 la Poste a été successivement tenue par Mr JOLY puis par Mr MACRON qui venait de la Somme, d’Amiens. Il avait 3 enfants, 3 garçons Michel, Daniel et Yvon nés en 47,48 et 49.
Facteurs:
Les deux facteurs avaient en commun de se prénommer Félix, d’habiter le Chez et d’exploiter parallèlement une petite propriété.
Porteuses de télégrammes :
Cette activité qui consistait à porter dés leur arrivée à la poste, les télégrammes chez les destinataires, fut exercée successivement par Ginette BATIER (272)(Cr7) puis par Simone MOURLON, de 1955 à 1958. (97)(F3)
Ginette BATIER, dont l’époux Fernand, handicapé par des problèmes de santé, ne travaillait pas. Ils avaient un fils René âgé de 4 ans en 1950.
Cantonniers municipaux:
Garde Champêtre:
Joseph MOURLON, était chargé de la police municipale, et de la communication des « Avis à la population Il était également plâtrier-peintre. Son épouse Marguerite avait tenu le bureau de tabac jusqu’à la guerre. Elle avait conservé la « recette fiscale buraliste ». Ils vivaient avec leur fille Simone (15 ans en 1950) au 97(F3).
Garde Chasse:
Georges PIERRON. Arrivé à Sannat au début des années 50, il vivait au 122(Tf9). On l’appelait « le Garde » et son épouse, Simone, qui pourtant n’exerçait pas cette profession, « la Garde ». Ils avaient 6 enfants : Daniel, Gérard, Michel, Nicole, Florence et Alain.
Bascule Municipale: (70)
Léontine TINET, dite « La Tontine » était la peseuse municipale. Dans la petite guérite attenante à la bascule elle pesait les animaux et les charrettes. Elle vivait au 47(S19) avec sa mère Lucie CLUZET, dite « La Quinaude » et son époux Georges TINET qui, à la suite de Joseph et de Gus, deviendra garde champêtre et cantonnier municipal.
Recette buraliste : (97)(F3)
Marguerite MOURLON qui avait abandonné la vente du tabac au lendemain de la guerre avait toutefois conservé celle des timbres fiscaux et du papier timbré. Cela constituait ce que l’on appelait la recette buraliste.
Ces deux activités, celle-ci et la suivante étaient attribuées par les services de l’État prioritairement aux invalides et aux veuves de guerre.
Marquage de viande :
Cette activité, qui consistait à enregistrer les bêtes abattues par les bouchers et à marquer avec une roulette à l’encre bleue les carcasses pour identification (déjà la traçabilité !), était exercée par Antoine BUISSON, dit « Tatane », pensionné de guerre. Il habita successivement avec sa famille composée de son épouse, Marcelle dite « Sesselle » et de ses 3 enfants Pierrette (5 ans en 1950), Jean-Pierre (3 ans) et Annie (1 an) au 114(M2) puis au 17(Ti1) et enfin au 10(E2).
Notaire :
Louis MEGE (31 au fond de l’immeuble)(P4) était fils et petit-fils de notaire. Il en occupait toujours l’office pour quelques travaux de secrétariat et de comptabilité qu’il effectuait pour le compte de Roger NEBOUT.
Le Maire: (6)(E4)
François CHIRADE (Agriculteur au Châtaignier).
Secrétaire de Mairie:
Louis DELAGE dit « Bizet », autrefois coiffeur habitait au (138)(E9) en compagnie de son épouse Lucie. Leur fille, Antonine, dite « Ninette » était institutrice, avec son époux Georges DELMAS à Lussat.
Médecin: (129)(TF17)
Le Docteur DEVILLECHABROLLE exerça son activité jusqu’en août 1950, date à laquelle il fit valoir ses droits à la retraite.
Instituteurs:
- Mr Marius JARLES et Mme Simone JARLES habitaient la « Grande école » (6)(E4) avec leur fille Liliane dite « La Lili » âgée de 5 ans en 1950.
- Mr Jean AYMAR enseignait aux enfants les plus jeunes dans la « Petite école » (2)(E14) (son épouse Marthe ne travaillait pas et ils n’avaient pas d’enfants).
Alphonsine DELAGE dite « La Foncine », préparait les repas pour les enfants des villages dans la pièce annexe de la « Petite école » qui est toujours la cantine.
Curé: (10 puis 225)(E2 puis E1)
L’abbé VERRIER, de son prénom Pierre, mais que l’on appelait simplement « le Curé », exerça son ministère à Sannat de 1948 à 1962. Il vécut d’abord dans la maison communale située en face de l’église, dite « la cure » (habitée aujourd’hui par Fabrice BOURRIQUET), puis dans la maison située de l’autre coté de la rue des écoles (habitée aujourd’hui par Mr COULAUD), que Mr LANORE légua à l’Évêché par testament. Le catéchisme se fit successivement au domicile du curé, dans l’ancienne cure, puis dans l’extrémité de l’aile gauche de l’ancien cellier LANORE aménagée pour cela. La partie droite du cellier fut transformée en un logement qu’occupa la sœur du curé, venue de Paris, Mme ESTABLI.
Sacristain: (225)(E1)
André LANORE, marchand de vin à la retraite, exerçait les fonctions de sacristain en aidant le Curé dans différentes tâches : préparer et servir la messe, sonner les cloches, etc.
Receveurs de la Poste: (11)(P5)
Dans les années 50 la Poste a été successivement tenue par Mr JOLY puis par Mr MACRON qui venait de la Somme, d’Amiens. Il avait 3 enfants, 3 garçons Michel, Daniel et Yvon nés en 47,48 et 49.
Facteurs:
Les deux facteurs avaient en commun de se prénommer Félix, d’habiter le Chez et d’exploiter parallèlement une petite propriété.
- Félix JOUANDANE (149)(Ch3), le plus ancien, vivait avec son épouse Angèle et leur fils Roger âgé de 24 ans en 1950.
- Félix SIMONNET (163)(Ch6) vivait avec son épouse Yvette et ses beaux-parents, Rémi et Angèle VELUT. Deux fils naîtront au début des années 50, Marc en 1951 et Gilles en 1954
Porteuses de télégrammes :
Cette activité qui consistait à porter dés leur arrivée à la poste, les télégrammes chez les destinataires, fut exercée successivement par Ginette BATIER (272)(Cr7) puis par Simone MOURLON, de 1955 à 1958. (97)(F3)
Ginette BATIER, dont l’époux Fernand, handicapé par des problèmes de santé, ne travaillait pas. Ils avaient un fils René âgé de 4 ans en 1950.
Cantonniers municipaux:
- Auguste DELAGE, dit « Gus » vivait au 160(Ch8) avec son épouse Marthe. Ils n’avaient pas d’enfants.
- Amédée PINTHON, dit « Médée », qui habitait Saint-Pardoux.
Garde Champêtre:
Joseph MOURLON, était chargé de la police municipale, et de la communication des « Avis à la population Il était également plâtrier-peintre. Son épouse Marguerite avait tenu le bureau de tabac jusqu’à la guerre. Elle avait conservé la « recette fiscale buraliste ». Ils vivaient avec leur fille Simone (15 ans en 1950) au 97(F3).
Garde Chasse:
Georges PIERRON. Arrivé à Sannat au début des années 50, il vivait au 122(Tf9). On l’appelait « le Garde » et son épouse, Simone, qui pourtant n’exerçait pas cette profession, « la Garde ». Ils avaient 6 enfants : Daniel, Gérard, Michel, Nicole, Florence et Alain.
Bascule Municipale: (70)
Léontine TINET, dite « La Tontine » était la peseuse municipale. Dans la petite guérite attenante à la bascule elle pesait les animaux et les charrettes. Elle vivait au 47(S19) avec sa mère Lucie CLUZET, dite « La Quinaude » et son époux Georges TINET qui, à la suite de Joseph et de Gus, deviendra garde champêtre et cantonnier municipal.
Recette buraliste : (97)(F3)
Marguerite MOURLON qui avait abandonné la vente du tabac au lendemain de la guerre avait toutefois conservé celle des timbres fiscaux et du papier timbré. Cela constituait ce que l’on appelait la recette buraliste.
Ces deux activités, celle-ci et la suivante étaient attribuées par les services de l’État prioritairement aux invalides et aux veuves de guerre.
Marquage de viande :
Cette activité, qui consistait à enregistrer les bêtes abattues par les bouchers et à marquer avec une roulette à l’encre bleue les carcasses pour identification (déjà la traçabilité !), était exercée par Antoine BUISSON, dit « Tatane », pensionné de guerre. Il habita successivement avec sa famille composée de son épouse, Marcelle dite « Sesselle » et de ses 3 enfants Pierrette (5 ans en 1950), Jean-Pierre (3 ans) et Annie (1 an) au 114(M2) puis au 17(Ti1) et enfin au 10(E2).
Notaire :
Louis MEGE (31 au fond de l’immeuble)(P4) était fils et petit-fils de notaire. Il en occupait toujours l’office pour quelques travaux de secrétariat et de comptabilité qu’il effectuait pour le compte de Roger NEBOUT.
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Les Commerces
Épiceries
Deux épiceries étaient des succursales de groupes commerciaux « à succursales multiples ». L’un de statut coopératif basé à Guéret « Les coopérateurs du centre » (« La Coop ») qui rayonnait sur l’ouest du Massif Central, l’autre de statut privé « Casino », basé à Saint-Etienne qui couvrait plutôt la partie est.
Enfin la boucherie Malterre disposait d’un rayon épicerie au fond du magasin.
Une autre épicerie, située sur la Place (115)(M2) tenue par Mr TERRAILLON avait cessé son activité à la fin des années 40.
Cafés
NB : L’autre marchand de vin du bourg, le « père » LANORE avait cessé son activité à la fin des années 40.
Boulangeries :
Il existait 2 boulangeries à cette époque, celle « d’en haut » (96)(S2) était tenue par
Boucheries:
Trois bouchers se partageaient le marché Sannatois.
Coiffeurs: Marius et Simone GAYET (123 puis 85)(Tf11 puis Cr10)
Depuis 1943 ils exerçaient leur activité dans la maison où le secrétaire de mairie Louis DELAGE avait pratiqué le même métier avant eux (123)(Tf11). Ils la quittèrent avec leur fille Michèle (5 ans en 1950) en 1956 pour aller tenter leur chance à Paris. Ils revinrent à Sannat l’année suivante pour s’installer cette fois dans le Bourg d’en haut (85)(Cr10). Ils complétèrent l’activité coiffure pour hommes (Marius) et coiffure pour dames (Simone) par la réparation de vélos et de mobylettes, comme c’était déjà le cas avant l’expérience parisienne, et ils ajoutèrent la vente de journaux et de magazines. Le salon maintiendra son activité jusqu’en 1982.
Épiceries
Deux épiceries étaient des succursales de groupes commerciaux « à succursales multiples ». L’un de statut coopératif basé à Guéret « Les coopérateurs du centre » (« La Coop ») qui rayonnait sur l’ouest du Massif Central, l’autre de statut privé « Casino », basé à Saint-Etienne qui couvrait plutôt la partie est.
- La Coop fut tenue dans les années 50 successivement par Eugène et Marcelline GENILLER (101)(F11) puis par René et Madeleine CHAUMETON (132)(M4) qui donnèrent un essor à la succursale pour en faire la principale épicerie de la commune, en permettant notamment aux habitants des villages de recevoir les produits à domicile grâce aux « tournées ».
- Le Casino (113)(M2) était tenu par Marie NORE, secondée par son mari Antoine qui fut auparavant forgeron. Mais on continuait à l’appeler par son nom de jeune fille, « la Marie BOUDET », ou bien « la Marie CASINO », ou tout simplement « la CASINO ».Elle vendait également l’essence par l’entremise d’une pompe manuelle située devant le magasin.
Enfin la boucherie Malterre disposait d’un rayon épicerie au fond du magasin.
Une autre épicerie, située sur la Place (115)(M2) tenue par Mr TERRAILLON avait cessé son activité à la fin des années 40.
Cafés
- Chez CHAUMETON (132)(M4)
- Chez GIRAUD puis Chez DESCOUT puis chez CHALANCON (33)(x) :
NB : L’autre marchand de vin du bourg, le « père » LANORE avait cessé son activité à la fin des années 40.
- Chez MALTERRE (44)(S17)
- Henri LEPINASSE (100)(F11)
Boulangeries :
Il existait 2 boulangeries à cette époque, celle « d’en haut » (96)(S2) était tenue par
- Albert VERTADIER, dit « Bébert », secondée par son épouse, Suzanne (« la Suzanne de Bébert ») qui faisait les tournées. Deux filles vivaient au foyer en 1950, Danièle âgée de 4 ans et Andrée (« la Doudou ») de 2 ans. Une troisième fille Bernadette naitra en 1952.
- La boulangerie « d’en bas », (142)(Tf6 et Tf8) était celle de Ferdinand DELAGE et de son fils Henri DELAGE, dit « Riri » ou « le Mitron ». Ils n’effectuaient pas de tournées. Dans les années 60 ils laisseront la place à Jean BELON, dont la femme, Berthe, assurera les tournées
Boucheries:
Trois bouchers se partageaient le marché Sannatois.
- René MALTERRE (45)(S17) était le principal boucher. Il était particulièrement réputé pour la qualité de sa charcuterie. Comme les autres bouchers, il abattait lui-même les animaux dans son abattoir situé à la sortie du bourg, à l’embranchement du Chemin des Boutilloux (60)(CB2).
- Auguste CABOURNAUD (251)(S14) était presque voisin. Secondé dans son commerce par son épouse Fernande, il exerçait également le métier d’agriculteur.
- René NEBOUT (16)(P11) cessa progressivement son activité de boucher dans les années 50 au profit de celle de « marchand de bêtes » « ou de bestiaux ». Il en était un des plus importants de la région, exportant ses animaux par wagons aux gares de Reterre et d’Evaux. Il était en même temps un agriculteur spécialisé dans l’élevage, c’est à dire ce que l’on appelle aujourd’hui un négociant-éleveur. La famille était composée en outre de son épouse Renée et de leurs 3 enfants, Yvon (« Vonvon ») âgé de 19 ans en 1950, Pierrette, 16 ans, et Danièle 9 ans.
Coiffeurs: Marius et Simone GAYET (123 puis 85)(Tf11 puis Cr10)
Depuis 1943 ils exerçaient leur activité dans la maison où le secrétaire de mairie Louis DELAGE avait pratiqué le même métier avant eux (123)(Tf11). Ils la quittèrent avec leur fille Michèle (5 ans en 1950) en 1956 pour aller tenter leur chance à Paris. Ils revinrent à Sannat l’année suivante pour s’installer cette fois dans le Bourg d’en haut (85)(Cr10). Ils complétèrent l’activité coiffure pour hommes (Marius) et coiffure pour dames (Simone) par la réparation de vélos et de mobylettes, comme c’était déjà le cas avant l’expérience parisienne, et ils ajoutèrent la vente de journaux et de magazines. Le salon maintiendra son activité jusqu’en 1982.
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Les Artisans
Maçons :
Plâtriers-peintres:
Menuisier: Armand CHANUDET (125 puis 130)(Tf4 puis Tf15)
Armand Chanudet fut secondé par des ouvriers qui se relayèrent en son atelier de 1937 à 1975, mais le plus important et le plus constant fut « Claude » qui devint presque un membre de la famille. La première menuiserie connut une fin tragique, elle brûla en 1956. Heureusement les dégâts ne furent que matériels, mais tout fut emporté par les flammes, l’atelier et la maison. Les personnes, Armand, son épouse Georgette et sa fille Lucette (16 ans en 1950, et donc 22 ans en cette année 56) purent s’échapper à temps. La maison fut par la suite restaurée, mais la famille dut temporairement déménager, au 143(Cr10), et un nouvel atelier fut construit de l’autre côté de la rue(130)(Tf15).
Georgette ajouta quelques années plus tard un commerce de produits destinés à l’agriculture, engrais, aliments pour le bétail, fils de fer barbelés etc., de 1965 à 1975.
Charron: René PARROT (103)(Cr1).
Son atelier, protégé par des bâtiments était malheureusement moins visible et s’offrait moins au regard des jeunes curieux. René, aidé de Riri NICOLAS, devait mettre en œuvre le bois et le fer pour fournir aux agriculteurs les moyens de transport que leur travail nécessitait, charrettes, tombereaux…Son épouse Marcelle était modiste. Leur fille Liliane avait 15 ans en 1950. Vivait avec eux Victorine BOUDET, la mère de Marcelle.
Maréchal Ferrand- Forgeron (69)(B1):
Auguste CHABOT (69) fabriquait les objets en fer, réparait tout ce qui méritait soudure, et ferrait les bœufs et les chevaux dans les deux tramails (ou travails) situés devant la forge. La maison Chabot, qui comptait également l’épouse, Alice qui exerçait son art dans les chapeaux en qualité de modiste, Raymond âgé de 13 ans en 1950 et Jeannette âgée de 16 ans, assurait également le service du téléphone public et de la vente des bouteilles de gaz.
Cordonnier: (200)(F7)
Presqu’en face était Marcel BOUDET qui réparait les chaussures, les ferrant, les ressemelant, ou renforçant les parties trop usées. Il en vendait quelques paires aussi. Son épouse, Marie Ezilda, dite « Zilda » était couturière. Leur fils Roger, 13 ans en 1950, sera blessé en Algérie.
Sabotier: Louis DELAGE (145)(Tf12) (voir le texte qui lui est consacré dans le livret)
Depuis 1920 Louis fabriquait les sabots des Sannatois. Son éternelle cigarette lui avait valu le surnom de « Pipet ». Son épouse Alphonsine, et leurs deux enfants Paul et Raymonde, 24 et 18 ans en 1950, complétaient la famille.
Radio électricien: Paul DELAGE (145 puis 123)(Tf12 puis Tf11)
Paul exerça d’abord le métier d’électricien au domicile parental en complément du métier de sabotier qu’i avait appris de son père, puis il s’installa à la place de « Marius » et de « la Simone » quand ceux-ci partirent à Paris.
Garage- machines agricoles:
L’entreprise BOUDET (1629-1630)(F25) avait en fait de multiples activités. A la batteuse, elle ajoutait la scierie, la mécanique agricole et automobile, la distribution d’essence, les travaux agricoles à la demande chez les agriculteurs, et même le ramassage du courrier le soir. Dans la belle maison située à la sortie du bourg en direction de Reterre, à la Gasne, vivaient aux cotés de Raymond, son épouse Andrée, et leurs deux enfants, Henri 10 ans en 1950 et Adrienne 6 ans.
Entreprises de battage:
Les Sannatois étaient nombreux à exporter leur savoir faire dans les fermes de la Creuse, de l’Allier ou du Cher pour aller y battre leurs grains. Peut-être la tradition de la migration leur avait-elle apporté cette capacité à savoir aller chercher ailleurs l’argent que notre pauvre terre ne rapportait pas suffisamment. Dans le Bourg ils étaient 3.
Tailleur:
Alfred DUPUY (111)(F2). « Fred » confectionnait les habits pour hommes, en particulier les costumes. Tout était fait sur mesure. Chacun choisissait dans les nombreux rouleaux de tissus la matière de son futur vêtement et en avait la coupe et la forme désirées. Vivaient autour de lui, son épouse Odette (la « Dédète »), leur fille Nicole (10 ans en 1950), et la belle-mère, Francine CHARTIER.
Couturières:
De nombreuses femmes exerçaient la profession de couturière, le « prêt à porter » ayant encore peu pénétré dans nos campagnes. Mais les choses allaient vite changer dans les années suivantes.
Modistes:
Marcelle PARROT (103)(Cr1) fabriquait et vendait les chapeaux, les coiffes ou les capelines dont se paraient les dames.
Maçons :
- Maurice CLUZEL (31-côté route)(P4) possédait la plus grosse entreprise de maçonnerie de la commune. C’était une entreprise de bâtiment qui avait plusieurs équipes qui construisaient des maisons et des immeubles loin à la ronde. Avec son épouse (Prénom ?), ils n’avaient pas d’enfants, mais ils élevèrent jusqu’à la fin de sa scolarité primaire qu’il effectua à Sannat un neveu à elle, Jean-Michel FAURE (4 ans en 50).
- Raymond MALETERRE (184)(S6), était l’autre maçon du bourg. Il travaillait avec un ouvrier Jojo MARTIN, et son fils Georges, dit « Cassou » (18 ans en 1930) qui prendra le relai à la tête de l’entreprise à son retour de la Guerre d’Algérie.
Plâtriers-peintres:
- Joseph MOURLON (97)(F3) dont il a été parlé en évoquant la fonction de garde-champêtre était avant tout un plâtrier-peintre réputé.
- René MARAUD, dit « Ganet » plus jeune que Joseph, habitait lui le Bourg d’en haut, d’abord au 89(B2) puis au 47(S19). Les deux artisans travaillaient ensemble jusqu’à ce que Joseph prenne sa retraite. Avec son épouse Victoire, ils avaient un fils âgé de 10 ans en 1950, Daniel.
Menuisier: Armand CHANUDET (125 puis 130)(Tf4 puis Tf15)
Armand Chanudet fut secondé par des ouvriers qui se relayèrent en son atelier de 1937 à 1975, mais le plus important et le plus constant fut « Claude » qui devint presque un membre de la famille. La première menuiserie connut une fin tragique, elle brûla en 1956. Heureusement les dégâts ne furent que matériels, mais tout fut emporté par les flammes, l’atelier et la maison. Les personnes, Armand, son épouse Georgette et sa fille Lucette (16 ans en 1950, et donc 22 ans en cette année 56) purent s’échapper à temps. La maison fut par la suite restaurée, mais la famille dut temporairement déménager, au 143(Cr10), et un nouvel atelier fut construit de l’autre côté de la rue(130)(Tf15).
Georgette ajouta quelques années plus tard un commerce de produits destinés à l’agriculture, engrais, aliments pour le bétail, fils de fer barbelés etc., de 1965 à 1975.
Charron: René PARROT (103)(Cr1).
Son atelier, protégé par des bâtiments était malheureusement moins visible et s’offrait moins au regard des jeunes curieux. René, aidé de Riri NICOLAS, devait mettre en œuvre le bois et le fer pour fournir aux agriculteurs les moyens de transport que leur travail nécessitait, charrettes, tombereaux…Son épouse Marcelle était modiste. Leur fille Liliane avait 15 ans en 1950. Vivait avec eux Victorine BOUDET, la mère de Marcelle.
Maréchal Ferrand- Forgeron (69)(B1):
Auguste CHABOT (69) fabriquait les objets en fer, réparait tout ce qui méritait soudure, et ferrait les bœufs et les chevaux dans les deux tramails (ou travails) situés devant la forge. La maison Chabot, qui comptait également l’épouse, Alice qui exerçait son art dans les chapeaux en qualité de modiste, Raymond âgé de 13 ans en 1950 et Jeannette âgée de 16 ans, assurait également le service du téléphone public et de la vente des bouteilles de gaz.
Cordonnier: (200)(F7)
Presqu’en face était Marcel BOUDET qui réparait les chaussures, les ferrant, les ressemelant, ou renforçant les parties trop usées. Il en vendait quelques paires aussi. Son épouse, Marie Ezilda, dite « Zilda » était couturière. Leur fils Roger, 13 ans en 1950, sera blessé en Algérie.
Sabotier: Louis DELAGE (145)(Tf12) (voir le texte qui lui est consacré dans le livret)
Depuis 1920 Louis fabriquait les sabots des Sannatois. Son éternelle cigarette lui avait valu le surnom de « Pipet ». Son épouse Alphonsine, et leurs deux enfants Paul et Raymonde, 24 et 18 ans en 1950, complétaient la famille.
Radio électricien: Paul DELAGE (145 puis 123)(Tf12 puis Tf11)
Paul exerça d’abord le métier d’électricien au domicile parental en complément du métier de sabotier qu’i avait appris de son père, puis il s’installa à la place de « Marius » et de « la Simone » quand ceux-ci partirent à Paris.
Garage- machines agricoles:
L’entreprise BOUDET (1629-1630)(F25) avait en fait de multiples activités. A la batteuse, elle ajoutait la scierie, la mécanique agricole et automobile, la distribution d’essence, les travaux agricoles à la demande chez les agriculteurs, et même le ramassage du courrier le soir. Dans la belle maison située à la sortie du bourg en direction de Reterre, à la Gasne, vivaient aux cotés de Raymond, son épouse Andrée, et leurs deux enfants, Henri 10 ans en 1950 et Adrienne 6 ans.
Entreprises de battage:
Les Sannatois étaient nombreux à exporter leur savoir faire dans les fermes de la Creuse, de l’Allier ou du Cher pour aller y battre leurs grains. Peut-être la tradition de la migration leur avait-elle apporté cette capacité à savoir aller chercher ailleurs l’argent que notre pauvre terre ne rapportait pas suffisamment. Dans le Bourg ils étaient 3.
- Raymond BOUDET (173-1629)(F25) qui possédait 7 batteuses, dont une pour le trèfle.
- Henri GALLAND (179)(Tf3) possédait 2 batteuses.
- René PARROT (103)(Cr1) possedait 1 batteuse.
Tailleur:
Alfred DUPUY (111)(F2). « Fred » confectionnait les habits pour hommes, en particulier les costumes. Tout était fait sur mesure. Chacun choisissait dans les nombreux rouleaux de tissus la matière de son futur vêtement et en avait la coupe et la forme désirées. Vivaient autour de lui, son épouse Odette (la « Dédète »), leur fille Nicole (10 ans en 1950), et la belle-mère, Francine CHARTIER.
Couturières:
De nombreuses femmes exerçaient la profession de couturière, le « prêt à porter » ayant encore peu pénétré dans nos campagnes. Mais les choses allaient vite changer dans les années suivantes.
- Marie VERTADIER (183)(S8), qui avait élevé et formé dans les années 1930 au métier de couturière, avant qu’elle n’enseigne elle-même, sa nièce Odette GOURDON qui est aujourd’hui une de nos plus actives adhérentes, fabriquait toujours robes, jupes ou corsages pour la gent féminine.
- Irène CHANARD (71)(B3) exerçait également le métier de couturière, complétant ainsi celui de son époux Jean, cultivateur. Vivait à leurs cotés leur fille Jeannine âgée de 19 ans en 1950.
- Les sœurs BUSSET, Marie et Henriette (116)(M1), et Raymonde DELAGE (145)(Tf12) effectuaient les mêmes taches. Zilda BOUDET (200)(F7) était spécialisée dans la lingerie féminine et la confection des blouses.
Modistes:
Marcelle PARROT (103)(Cr1) fabriquait et vendait les chapeaux, les coiffes ou les capelines dont se paraient les dames.
Vues du Bourg de Sannat
Les Exploitations Agricoles
Les agriculteurs n’étaient pas absents du Bourg, même s’ils y étaient très minoritaires. Deux possédaient de véritables exploitations, un troisième était fermier. Pour les autres, l’agriculture était une activité secondaire ou de semi-retraité.
Henri GRANGE (109)(F4), dont la ferme était située presqu’au centre du bourg, modernisa son exploitation dés ces années là. Il fut certainement un des premiers à posséder un tracteur et à se doter d’un équipement de traite électrique. Vivaient à ses cotés, son épouse Édith et ses 3 enfants Annie (7 ans en 1950), Georges, dit « Jojo » (6 ans) et Joëlle qui naitra en 1955. Faisait presque partie de la famille un ouvrier agricole d’origine yougoslave Petar Marcic, dit "Piâr" qui s’aménagera plus tard dans le Bourg d’en haut la maison 38. L’autre ouvrier, Jean Noël résidait lui habituellement aux Poux.
L’autre ferme à la sortie du Bourg, sur la route de Tardes, au Boueix, nous était moins familière. Elle était exploitée par Michel DEBOISSET, dit Michel du Boueix et sa mère Alexandrine.
Les agriculteurs n’étaient pas absents du Bourg, même s’ils y étaient très minoritaires. Deux possédaient de véritables exploitations, un troisième était fermier. Pour les autres, l’agriculture était une activité secondaire ou de semi-retraité.
Henri GRANGE (109)(F4), dont la ferme était située presqu’au centre du bourg, modernisa son exploitation dés ces années là. Il fut certainement un des premiers à posséder un tracteur et à se doter d’un équipement de traite électrique. Vivaient à ses cotés, son épouse Édith et ses 3 enfants Annie (7 ans en 1950), Georges, dit « Jojo » (6 ans) et Joëlle qui naitra en 1955. Faisait presque partie de la famille un ouvrier agricole d’origine yougoslave Petar Marcic, dit "Piâr" qui s’aménagera plus tard dans le Bourg d’en haut la maison 38. L’autre ouvrier, Jean Noël résidait lui habituellement aux Poux.
L’autre ferme à la sortie du Bourg, sur la route de Tardes, au Boueix, nous était moins familière. Elle était exploitée par Michel DEBOISSET, dit Michel du Boueix et sa mère Alexandrine.
La troisième exploitation était en fermage. Il s’agissait de la ferme du Chez (154)(Ch10) qu’Auguste et Julie GAYET louaient à Sidonie Nore. Aidés de leur fils Louis dit « Lili » (19 ans en 1950), ils durent cesser cette activité en 1954 à la mort d’Auguste. Julie et son fils s’installèrent alors dans la maison qu’Auguste avait construite à la sortie du bourg sur la route de Saint-Priest (1)(E18) et Lili devint maçon. La ferme, rachetée par Roger NEBOUT, fut alors collectivement exploitée, avec l’ensemble des terres qu’il possédait, par les familles GUILLEBOT et POLLI qui résidaient au Chez pour la première et dans le Bourg d’en haut pour la seconde (au 72)(B7).La famille GUILLEBOT, arrivée en 1956, était composée du père, Pierre, de la mère Simone et de 5 filles : Yvette née en 1941, Ginette (1942), Édith (1946), Bernadette (1952) et martine (1954). Alors que la famille POLLI arrivée en 1959 avait 2 garçons Patrick et Didier nés en 1957 et 1959. |

Dans cette maison du Bourg d’en haut avaient vécu auparavant la famille DOUCET partie ensuite s’installer à Saint-Pardoux. Les parents, Camille et Yvonne, avaient deux enfants Jean-Pierre (8ans en 1950) et Annie, dite « Ninette » (5 ans).
Les autres petites exploitations étaient celles de Robert DESCOUT (33)(x), CHANARD (71)(B3), Gaston VELUT (83)(Cr8) dit « Gaston Finette », Auguste CABOURNAUD (251)(S14) Félix JOUANDANNE (149)(Ch3) et Félix SIMONNET (163)(Ch6).
Les Autres Familles
Quelques autres familles qui résidaient au bourg n’ont pas été citées, soit parce qu’elles ont quitté la commune ou le Bourg dans ces années 50, soit parce que le chef de famille exerçait son métier à l’extérieur, soit parce qu’il s’agissait de personnes âgées n’ayant plus d’activité sociale.
Il faut donc ajouter :
La famille TINET (42)(S5). Fernand, ouvrier agricole partit s’installer comme fermier au Montgarnon au début des années 50. C’était la famille la plus nombreuse de la commune. Fernand TINET et son épouse Lucienne élevèrent 10 enfants qui tous naquirent au Chez puis au Bourg : Guy (18 ans en 1950)-Sabine (17)-Marcelle (15)- Micheline (14)-Gérard (13)-Christiane (11)-Jacques (10)-Ginette (8)- Danièle (3)-Hubert (1).
La famille FAURE. Anna, fille de Julie et d’Auguste GAYET et son époux Eugène, dit « Tanot » eurent trois enfants Jean, dit « Jeannot » (7ans en 1950), Bernard (4 ans) et Yves (1 an). Ils vécurent à Saint Pardoux puis au Chez (164)(Ch4) avant de partir dans la région lyonnaise d’où était originaire l’époux.
Gabriel PARRY dit « Babet » (17A)(Ti1),
Irène LOTHE (243)(Cr9),
Mme Veuve MARAUD (au 85 avant que ne vienne la famille GAYET)(Cr10)
Mme Veuve BAYLE (au 52, dans cette maison dont Lucette VERTADIER nous a conté l’histoire, qui fut atelier de menuiserie, café et épicerie)(S25)
Mr et Mme FILLOUX (43)(S13). (Mme FILLOUX avait été institutrice)
Camille et Marie DESCOUT dite « la Marie Coucou »(105)(F6), (maison où vécue auparavant la « Jacquette » (tante de Mme CABOURNAUD)
La Jaja, sœur d René MARAUD qui vécut au 116(M1)
Mr TREPARDOUX qui était voisin de l’entreprise BOUDET, au 175(F23)
Antoinette VERTADIER,(182)(B4) dite la « Toinette » qui éleva jusqu’à la fin de leur scolarité primaire ses deux petites filles, Annie BATAILLON et Hélène JOURDAN (3 ans en 1950). Plus grandes elles retournèrent chez leurs parents en Région Parisienne.
Renée SOUBISE, compagne de Raymond MALTERRE devenu veuf, qui habita le Bourg au 184(S6) puis les Fayes. Dans les années 50, elle aura 4 ( ?) enfants nés au bourg : Jocelyne en 1952, Josette et Miatou ( ?) en 1954 et en 55 Marie-France.
Une famille de réfugiés républicains espagnols, la famille BALASTEGUY qui habita d’abord dans l’arrière de la maison « Noizat » (33)(x) puis au 116(M1). La famille se composait du père Antoine, de la mère Salvadora et des enfants Juana 15 ans en 1950, Ginès 11 ans et Claire qui naitra en 1951 au Bourg.
Quelques autres familles qui résidaient au bourg n’ont pas été citées, soit parce qu’elles ont quitté la commune ou le Bourg dans ces années 50, soit parce que le chef de famille exerçait son métier à l’extérieur, soit parce qu’il s’agissait de personnes âgées n’ayant plus d’activité sociale.
Il faut donc ajouter :
La famille TINET (42)(S5). Fernand, ouvrier agricole partit s’installer comme fermier au Montgarnon au début des années 50. C’était la famille la plus nombreuse de la commune. Fernand TINET et son épouse Lucienne élevèrent 10 enfants qui tous naquirent au Chez puis au Bourg : Guy (18 ans en 1950)-Sabine (17)-Marcelle (15)- Micheline (14)-Gérard (13)-Christiane (11)-Jacques (10)-Ginette (8)- Danièle (3)-Hubert (1).
La famille FAURE. Anna, fille de Julie et d’Auguste GAYET et son époux Eugène, dit « Tanot » eurent trois enfants Jean, dit « Jeannot » (7ans en 1950), Bernard (4 ans) et Yves (1 an). Ils vécurent à Saint Pardoux puis au Chez (164)(Ch4) avant de partir dans la région lyonnaise d’où était originaire l’époux.
Gabriel PARRY dit « Babet » (17A)(Ti1),
Irène LOTHE (243)(Cr9),
Mme Veuve MARAUD (au 85 avant que ne vienne la famille GAYET)(Cr10)
Mme Veuve BAYLE (au 52, dans cette maison dont Lucette VERTADIER nous a conté l’histoire, qui fut atelier de menuiserie, café et épicerie)(S25)
Mr et Mme FILLOUX (43)(S13). (Mme FILLOUX avait été institutrice)
Camille et Marie DESCOUT dite « la Marie Coucou »(105)(F6), (maison où vécue auparavant la « Jacquette » (tante de Mme CABOURNAUD)
La Jaja, sœur d René MARAUD qui vécut au 116(M1)
Mr TREPARDOUX qui était voisin de l’entreprise BOUDET, au 175(F23)
Antoinette VERTADIER,(182)(B4) dite la « Toinette » qui éleva jusqu’à la fin de leur scolarité primaire ses deux petites filles, Annie BATAILLON et Hélène JOURDAN (3 ans en 1950). Plus grandes elles retournèrent chez leurs parents en Région Parisienne.
Renée SOUBISE, compagne de Raymond MALTERRE devenu veuf, qui habita le Bourg au 184(S6) puis les Fayes. Dans les années 50, elle aura 4 ( ?) enfants nés au bourg : Jocelyne en 1952, Josette et Miatou ( ?) en 1954 et en 55 Marie-France.
Une famille de réfugiés républicains espagnols, la famille BALASTEGUY qui habita d’abord dans l’arrière de la maison « Noizat » (33)(x) puis au 116(M1). La famille se composait du père Antoine, de la mère Salvadora et des enfants Juana 15 ans en 1950, Ginès 11 ans et Claire qui naitra en 1951 au Bourg.